De nouvelles perspectives
Quelle lecture les universitaires et les conservateurs sud-asiatiques font-ils de ces archives coloniales?
Quatre membres du projet de recherche nous racontent les expériences qu’elles ont vécues dans le cadre de leur travail sur les archives Gwillim.
- Vinita Damodaran, historienne environnementale, directrice du Centre mondial pour l’histoire environnementale, Université de Sussex, R.-U.
- Toolika Gupta, chercheuse et éducatrice dans le domaine du vêtement, du textile, de l’artisanat et du design; directrice de l’Institut indien d’artisanat et de design, à Jaipur.
- Minakshi Menon, chercheuse universitaire à l’Institut Max Planck pour l’histoire des sciences à Berlin, travaillant actuellement à l’écriture du livre Empiricism’s Empire: Natural-Knowledge Making, State-Making and Governance in East India Company India, 1784–1830 (L’empire de l’empirisme : connaissances naturelles, formation des États et gouvernance au sein de la Compagnie des Indes orientales, 1784-1830).
- Marika Sardar, conservatrice et chercheuse indépendante; ancienne conservatrice du musée Aga Khan à Toronto.